Lundi 20 mars dans la soirée, après l’examen des motions de censure à l’Assemblée nationale, des manifestations spontanées se sont déroulées dans de nombreuses villes. La colère contre le gouvernement, son attaque sur les retraites, sa servilité vis-à-vis des riches et son mépris des travailleurs s’y est de nouveau exprimée.
Rien qu’à Paris, 170 interpellations ont eu lieu : sa seule réponse aux revendications populaires est de
faire donner la police.
Gazages et matraquages alimenteront la colère et ne viendront pas à bout des protestations des jeunes et des travailleurs si celles-ci s’amplifient dans les jours à
venir sous la forme d’une puissante vague de grèves.
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